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En pleine thérapie pour essayer de guérir sa phobie des moutons, Henry Oldfield décide de revenir briévement à la ferme familiale pour la vendre à son frère ainé Angus; Ce qu'il ignoe, c'est que celui-ci y concocte quelque chose de terrrrible : un programme de manipulation génétique. Henry arrive juste après qu'un couple de militants écolos sans grande envergure ait lâché au sein du troupeau de son élevage un mouton "génétiquement modifié" par le laboratoire d'Angus... Le résultat est probant : ces doux agneaux se transforment par milliers en prédateurs assoiffés de sang !
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[voice] => De nombreux bonus se cachent sur le site. A votre souris!----Tromso Film Fest Black Sheep (New Zealand) By JAY WEISSBERG, Variety Musicvid helmer Jonathan King turns New Zealand's fleecy export into mutant carnivores in endearingly amusing horror pic, ----A l'heure où nous écrivons ces lignes, le jury de Gérardmer n'a pas encore prononcé son verdict. Pourtant, Black Sheep, premier film de Jonathan King, apparaît comme un des leaders de cette compétition 2007. Jusqu'ici, l'incontestable représentant des productions cinématographiques néo-zélandaises se dénommait Peter Jackson. A partir de ce jour, il faudra compter sur Jonathan King. Le comparatif n'est pas dénué d'intérêt puisque celui-ci a fait appel à Weta Workshop (la société de celui-là) pour le développement de ses effets spéciaux et la création de ses marionnettes animatroniques. Premier point commun ! Plus loin, comment ne pas comparer Bad Taste et Brain Dead à Black Sheep : même débilité de fond, même goût pour l'absurde, même humour gore, même volonté d'attaquer les tenants du société néo-zélandaise. Nouvelle anecdote au passage : comme il l'avoue lui-même, King est un fan de Bad Taste (ce film a d'ailleurs été tourné dans sa ville natale). Pour notre nouveau candidat à la postérité, le message est clair : « Il y a 40 millions de moutons en Nouvelle-Zélande pour 4 millions de personnes ». Partant de ce constat, Jonathan King a réalisé un petit bijou d'humour noir. Voici l'histoire de deux frangins que tout oppose. Fils d'un éleveur ovin, les deux sujets préconisent pourtant deux modes d'élevage distincts. Angus est pour un développement intensif passant par l'expérimentation génétique afin de créer The mouton du 21e siècle, tandis qu'Henry, proche de la terre, traumatisé durant son enfance par le meurtre de son mouton préféré, souffre d'une pathologie extraordinaire : la phobie des moutons ! Afin de régulariser les comptes familiaux, ils se retrouvent après 15 années de séparation (c'est Angus qui butta le mouton d'Henry). Bien entendu, un accident au sortir du laboratoire génétique causera l'extension d'une épidémie redoutable. Chacun sait qu'un loup-garou chiquant un être humain transforme aussitôt la victime en loup-garou. Ici, le principe demeure le même. Après le lapin-garou de Wallace et Gromit, voici le mouton-garou de King. C'est débile, mais tout le film de King est débile ! Autant Bad Taste et Brain Dead représentent des films cultes pour la génération des trentenaires, autant - à n'en pas douter - Black Sheep représentera un film culte pour la génération suivante. King n'y est pas allé avec le dos de la cuillère. Conneries sur conneries, situations caca-pipi, critiques des postulats ambiants, autocritique d'un pays où la douceur de vivre exaspère toute une jeunesse, moquerie du sectarisme bio, tout est passé à la moulinette. Pour le reste du monde, la Nouvelle-Zélande est le pays de la laine, des moutons tout doux et des beaux paysages. Dorénavant, c'est le pays du cinéma du genre… absurde. Notre enthousiasme est complet, car cela faisait un moment que l'on avait pas eu sous la dent quelque chose d'aussi croustillant. Black Sheep est de la race de ces petits films, à petits budgets, mais bourrés d'idées saugrenues (cynisme, ironie, comique qui parlent à tous). Tourné entre mars et avril 2006, faisant appel à un casting pratiquement inconnu sous nos latitudes, la perle se déroule à un rythme effréné, compilant gags sur gags. Projeté seulement trois fois dans le monde depuis sa mise en boîte, Black Sheep a scotché le public du festival Fantastic'Arts 2007 ! C'est frais, bien filmé, avec de jolies couleurs. Aucune fausse note. A découvrir d'urgence lors de sa sortie en France (croisons les doigts pour ne pas avoir un direct to DVD!)…
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Black Sheep
|
Titre original |
Black Sheep |
|
Date de ventes: |
01. janvier 2013 |
|
Genre: |
Horreur | comédie |
|
Réalisé par: |
Jonathan King |
|
Acteurs: |
Nathan Meister, Tammy Davis, Peter Feeney, Oliver Driver |
|
Restriction d'âge: |
18 |
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Festival du Film Fantastique de Gerardmer 2007: Prix du Jury et Prix du Public En pleine thérapie pour essayer de guérir sa phobie des moutons, Henry Oldfield décide de revenir briévement à la ferme familiale pour la vendre à son frère ainé Angus; Ce qu'il ignoe, c'est que celui-ci y concocte quelque chose de terrrrible : un programme de manipulation génétique. Henry arrive juste après qu'un couple de militants écolos sans grande envergure ait lâché au sein du troupeau de son élevage un mouton "génétiquement modifié" par le laboratoire d'Angus... Le résultat est probant : ces doux agneaux se transforment par milliers en prédateurs assoiffés de sang !
